Rencontrez Sacha dans son interview filmé ! Sa bonne humeur est contagieuse. Elle nous raconte son parcours et ses ambitions en tant que futur kinésithérapeute. Toute l'équipe d'Happyblouse tient à la remercier pour le temps qu'elle nous a accordé.
Est-ce que tu peux te présenter brièvement ?
Je m’appelle Sacha, j’ai 22 ans, et j’habite dans le sud de la France.
Dans quel domaine de la santé est-ce que tu évolues ?
Je suis étudiante en kinésithérapie, en troisième année de kiné à l’école de Marseille.
Combien d'années d’études il te reste à faire?
Il me reste un an d’étude.
Pourquoi as-tu choisi la kinésithérapie ?
Depuis que je suis petite je rêve d’être kiné, j’ai eu l’occasion de côtoyer des kinés parce que j’avais des petits problèmes de dos durant mon adolescence. Les voir exercer m’a toujours donné envie de faire comme eux. J’ai aussi choisi le métier de kiné puisque c’est un métier qui je pense, est très varié. Il existe de nombreuses spécialisations: neurologiques, kiné du sport, pédiatrie…Et bien d’autres encore. Je pense, de ce fait, qu’on ne peut jamais s’ennuyer.
Comment se passe ce parcours d’étudiant?
J’ai passé un bac scientifique, ensuite je suis rentrée à la faculté de médecine. On doit passer par la première année de médecine. Donc par le concours, le terrible concours… J’ai réussi ce concours et j’ai choisi d’aller en kiné. Je suis rentrée à l’IFMK l'année suivante, l’Institut de Formation en Masso-Kinésithérapie. C’est très enrichissant, parce que ça permet d'appréhender le monde professionnel. Il me reste un an, comme je l’ai dit, avant de pouvoir m'exercer.
Quand tu dis quatre ans, est-ce que tu prends en compte la première année de médecine?
Non, c’est la première année de médecine, puis quatre ans, donc en tout c’est cinq ans.
Et à la fin quel est ton diplôme ?
C’est un master, un diplôme d’État.
Est-ce que tu aurais des conseils à donner pour des gens qui hésitent encore à se lancer dans les études de kinésithérapie ?
Oui, alors déjà de ne pas avoir peur de la première année de médecine. Elle est réputée comme étant très très difficile, mais en réalité, avec de la volonté, et beaucoup de travail, il n’y a pas de raison de ne pas y arriver. Puis, de profiter un maximum des études et des opportunités qui s’offrent aux étudiants. Par exemple, faire des stages à l’étranger, faire des stages supplémentaires, rencontrer des professionnels de santé lors de conférences, tout ça.
Et a est-ce que tu penses que l’école te donne les moyens de faire tout ça, ou est-ce que c’est plus de la volonté individuelle?
C’est de la volonté individuelle, mais l’école nous aide pas mal à trouver des terrains de stage, elle nous envoie des conférences auxquelles on peut assister.
Est-ce que toi il y a des choses qui t’ont un peu surpris, auxquelles tu ne t’attendais pas quand tu as commencé à étudier?
Alors oui, ce qui m’a beaucoup surpris, c'est déjà la quantité d’informations et de connaissances qu’on nous enseigne. Je pensais grossièrement que la kinésithérapie, c'était la connaissance de l’anatomie et le massage. Mais en réalité pas du tout, on apprend énormément de choses, de techniques manuelles, on a des cours de psychologie, de physiologie digestive, de cardiologie, donc sur différents sujets. Puis, ce qui m’a aussi surprise, et c’est un peu plus amusant, c’est le fait d’être tous en sous-vêtements pendant les TP, en travaux pratiques. Je ne m’y attendais pas trop, on se masse, on se palpe, on analyse notre posture, tout ça en sous-vêtements. C’est vrai qu’au début, c'est un peu gênant, puis on s’y habitue très vite. Et de toute façon, c'est un préalable indispensable à la connaissance du corps humain, de l’anatomie.
C’est à partir de quelle année que tu peux te spécialiser?
Les quatre années de kiné c’est un tronc commun, on ne choisit aucune spécialité. Et c’est après qu’on pourra passer toutes les formations qu’on veut, une fois qu’on est diplômé.
Donc il faut que tu aies le master pour après pouvoir choisir, sinon tu peux sortir et être kiné général ?
C’est ça.
Est-ce que tu as déjà des idées sur ce que tu voudrais faire?
Alors moi j’aimerais bien me spécialiser dans le sport parce que j’aime beaucoup le sport.
On commence un peu à suivre ton compte Instagram. Est-ce que tu peux nous en parler un peu plus en détail ?
Oui, j’ai ouvert un compte Instagram, il y a environ deux mois, je crois. Il est destiné à faire la promotion de la santé et de la prévention sur différents sujets. Il est beaucoup orienté sur le sport parce que j’adore ça. Il y a des publications sur l’entorse de la cheville, les blessures musculaires. Je poste aussi des petites vidéos de mobilité, de renforcement. Je pense qu’Instagram c’est un moyen de communication intéressant, parce qu'il permet l'accessibilité à l’information par tous, et il permet aussi au patient de devenir acteur de ses propres soins.
Quelle création de contenu préfères-tu faire?
Je poste deux types de contenus, donc des publications plutôt à visées informatives et des petites vidéos. Moi j’aime bien tourner les petites vidéos de renforcement, de mobilité, puisque c’est plus sur le côté sportif.
Est-ce que le sport était un choix déterminant pour engager tes études en kinésithérapie?
En quelque sorte oui parce que comme je fais du sport, j'ai toujours eu des petites blessures. J’ai eu des tendinites, mal de dos, etc. Et c’est pour ça que je suis allée voir un kiné. Ainsi j’ai rencontré des kinés du sport et ça m'a beaucoup plu. Ce que j’aime, c'est le contact entre le kiné et le sportif. Parce qu'au-delà des consultations au cabinet, le kiné va également sur le terrain, lors des compétitions, voir le sportif en action, et c’est cette relation humaine, presque intimiste, que j’ai beaucoup aimée.
Aimerais-tu, par exemple, suivre une équipe ou est-ce que tu préfèrerais avoir ton cabinet ?
Alors, j’aimerais bien à la fois avoir mon cabinet, et pourquoi pas suivre une équipe de temps en temps, aller les suivre sur des compétitions, etc.
Comment est-ce que tu nous as connu ? Est-ce que tu peux nous le raconter?
Je vous ai connu par l’intermédiaire d’une de mes profs, elle portait une blouse médicale que je trouvais très jolie. Et à la fin du cours, je suis allée la voir, pour lui demander d’où elle venait. Et c’est là qu’elle m’a donné le lien du site internet. Je suis allée voir les blouses, elles m’ont beaucoup plu. Donc j’en ai reçu une récemment, et j’en suis très très contente. La matière est incroyable, elle est très pratique, il y a beaucoup de poches. J’aime beaucoup ces blouses.
Est-ce que c’était la première blouse médicale que tu recevais ?
Oui, on nous en donne à l’école, pour nos stages, elles sont 15 fois trop grandes, donc oui, c'était la première.
Qu’est-ce qui est important quand tu vas choisir une blouse kiné?
Comme j’avais vu que les blouses étaient très jolies sur ma prof et que la qualité du produit avait l’air incroyable, je ne me suis pas trop posé de questions. Je suis directement allée sur le site.
Pourquoi as-tu fait le choix de porter une tenue médicale ?
J’ai fait le choix de porter une blouse médicale pour plusieurs raisons. Déjà une blouse, c'est très agréable à porter, c’est confortable et c’est pratique, il y a plein de poches. Puis ça permet de ne pas réfléchir tous les matins à ce qu’on va porter. C'est le côté pratique. Puis plus sérieusement, je pense que la blouse, ça permet de bien distinguer le côté professionnel, du côté personnel. Quand je mets ma blouse, je suis une professionnelle de santé. Et de ce fait, j’entretiens une relation professionnelle avec mon patient. Je me sens davantage respectée. Puis je pense que la blouse rappelle aux patients qu’on est des professionnels de santé, et qu’ils peuvent se livrer à nous en toute sérénité, parce qu’on est sous serment. Il y a cette notion de secret professionnel qui est incarné par cette blouse.
Est-ce que tu as déjà vu la différence en portant une blouse ou pas de blouse déjà avec tes patients?
Oui, alors j’ai eu l'occasion de faire un stage dans un cabinet libéral où on ne portait pas de blouses. Et c’est vrai que rapidement, les patients commencent à nous tutoyer. C’est plus trop une relation professionnelle et on se sent moins respectée, je pense, moins crédible.
Quelles sont tes ambitions professionnelles après ce master, après cette dernière année?
Alors, l'année prochaine, je ne sais pas exactement ce que je vais faire. J’aimerais peut-être faire des remplacements, pourquoi pas visiter un peu du pays. Je ne sais pas précisément, mais par contre à long terme, j’aimerais bien ouvrir mon propre cabinet libéral, et me spécialiser dans le sport.
Tu aimerais rester dans le sud du coup pour ouvrir ton cabinet ?
Oui, j’adore le sud.
Est-ce que tu aimerais partir à l’étranger ?
C’est vrai que je n’ai jamais eu l’occasion d’en faire pour l’instant. Je n'ai pas de plan précis pour partir à l’étranger. Mais pourquoi pas. De toute façon, tout ce qui peut m’apporter quelque chose est bon à prendre. Après je ne suis pas très forte en anglais. Donc ça risque d’être un peu compliqué au début, mais oui ça m'intéresse aussi, pourquoi pas.
On espère que tu vas réussir et exceller dans tes dernières années d’études.
La tenue médicale que Sacha a reçu est une tenue de la collection Koi Next Gen.
La blouse Koi Next Gen Retour à l'action.
Le pantalon Koi Next Gen En Cavale. .
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